J’aime quand ça ondule, quand les nuances s’imbriquent en puzzle et quand les yeux sont grands ouverts. Mes formes et couleurs apparaissent lorsque je pose le cerveau par le pinceau. Elles sont chimériques parce que dans ces moments-là je suis quelque part entre le fin fond de ma tête et le monde très grand, comme si je n’en faisais pas partie. Un peu comme dans les rêves où la réalité ressemble à tout et rien. Tout et rien, toi t’y vois quoi ?